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Courage et bas les masques…

Par Olivier Perceval

Les hasards du calendrier nous offrent parfois des actualités qui se bousculent et dont la proximité est riche d’enseignements.

En cette période de trouille généralisée à cause de la Covid, s’ajoutent l’accusation de racisme de l’Occident, le retour du djihad sur fond de procès des attentats sanglants et une crise économique sans précédent. Reste à mesurer la réaction des autorités et aussi celle du peuple français devant l’accumulation de ces épreuves. 

Deux attitudes possibles : La première consiste à se coucher, s’aplatir, s’agenouiller en signe de soumission et de repentir en battant notre coulpe sur la poitrine de nos ancêtres et ne jamais se livrer, selon l’expression consacrée, au péché d’amalgame.

Notons que la peur de la violence se traduisant par une volonté « pacifiste » de tout accepter venant de l’Islam, y compris la violence envers les femmes, et la peur d’être atteint par la pandémie semblent aller de pair.

L’autre attitude consiste à ouvrir les yeux et oser la lucidité. Faire le constat que si tous les musulmans ne sont pas des terroristes, tous les terroristes sont musulmans. Prendre un peu de recul et faire le constat que l’esclavage n’est pas l’apanage des occidentaux, mais qu’il était pratiqué d’abord, notamment, en Afrique et au moyen Orient, alors qu’il n’avait plus cours depuis longtemps en Europe. Il ne s’agit pas de se disculper, mais de contester la concentration des accusations médiatiques et « racialistes » uniquement à charge contre l’Occident.

Dès lors que l’on avance ce type d’argumentation on est catalogué, étiqueté, rhabillé pour l’hiver, et couvert de tous les qualificatifs infamants, dont la gauche a le secret et qu’une certaine droite (dite de gouvernement) approuve pour essayer de rester dans la partie, La fameuse droite dite républicaine.

Peut-être faudrait-il arrêter d’argumenter en justifiant de notre bonne foi et en restant sur la défensive.

Peut-être, vaudrait-il mieux rappeler que la France s’est constituée à coup d’épée, que tant qu’elle grandissait et s’épanouissait, elle s’imposait par son génie, la foi qui l’animait et aussi, quand c’était nécessaire, par la force des armes. La construction de la France, en particulier par les capétiens, est à la fois patiente et épique. Ce seul souvenir devrait être un motif d’exaltation et de confiance dans l’avenir. Les pétochards (masqués) donneurs de leçon, les partisans de l’abandon de notre histoire et de nos traditions, les êtres tremblants devant la violence et n’envisageant pas une seconde de produire de la violence légitime en réponse, ceux-là même qui demandent encore plus de mesures restrictives contre le virus, et surtout contre les imprudents irresponsables qui n’observeraient pas scrupuleusement les gestes barrières, mais qui acceptent avec bienveillance l’invasion exogène de leur pays, ne méritent pas que l’on s’attarde auprès d’eux en de vaines discussions dont nous sommes continuellement les prévenus.

Il est confondant d’observer les experts sur les plateaux télés, s’interrogeant sur la manière la mieux fondée de gérer les « mineurs isolés », concept loufoque inventé par notre administration pétrie d’idéologie, pour faciliter l’entrée supplémentaire sur notre sol de clandestins en toute légalité (Au passage, on peut se demander pourquoi un pakistanais musulman s’est retrouvé chez nous comme réfugié, car à notre connaissance, dans ce beau pays du Pakistan, se sont plutôt les chrétiens qui sont persécutés.)

Pour qu’il y ait une volonté politique réelle dans notre pays de lutter contre l’importation de la barbarie islamiste, il faudrait que le peuple français en grande majorité, et nous incluons dans « peuple français », l’ensemble des Français de souche ou par assimilation, se lève pour mettre un terme définitif à la politique d’immigration irresponsable menée par les pouvoirs successifs depuis plus de trente ans.

Mais une telle réaction suppose, en plus d’une révision de fond en comble de notre système politique et d’un affranchissement radical de toutes organisations supranationales, du courage, et l’épreuve affligeante du CORONAVIRUS montre que pour l’instant, une importante partie de nos compatriotes en manque singulièrement. Cela n’est cependant pas irrémédiable, Il appartient à tout un chacun de devenir courageux. Il faut seulement avoir quelque chose de grand à défendre…Quelque chose qui dépasse son petit ego, sa petite individualité, qui est un « nous » et qui est plus grand que soi…

Mais après tout, si l’on regarde l’Histoire, a-t-on besoin d’une majorité pour changer les choses ?