Les yeux ouverts : Voici comment Lyon II est devenu le laboratoire de la haine décoloniale – JE SUIS FRANÇAIS
On y enseigne ce qu’il faut et comme il faut. Malheur à celui qui n’aimerait pas les cours qui y sont dispensés.
C’est sous ce bref exorde qu’ a été présenté, dans Atlantico, hier lundi, l’article qui suit. Ce qu’est effectivement aujourd’hui et depuis longtemps déjà, la réalité idéologique et politique active qui se nomme antiracisme et se dissimule sous ce vocable, est ici clairement décrit, en général, et en particulier à partir du cas de Lyon II. Nous faisons la même analyse depuis des années. Qu’Atlantico, site reconnu comme raisonnable, ait publié cet article nous paraît important. Comme à son auteur. De sorte qu’il est bon que les lecteurs de JSF en aient connaissance. JSF
Par Benoît Rayski
La blanchitude est une maladie. Elle ne s’attrape pas, ne se contracte pas. On l’a de naissance, parce qu’on est né de parents blancs, qu’on a été élevé dans un milieu blanc, qu’on vit dans un pays blanc. Elle est donc congénitale, héréditaire. Cette maladie fait des ravages en France alors qu’elle est heureusement inexistante sur le continent africain.
Il ne faut pas désespérer pour autant : la blanchitude peut être combattue et vaincue. Pour cela, il faut tuer l’homme blanc qui est en nous. Un long et douloureux cheminement introspectif. Mais au bout, il y a la guérison. Nombre d’enseignants et d’étudiants de Lyon II ont courageusement fait ce travail. En tant qu’organismes génétiquement modifiés, ils sont aujourd’hui heureux et épanouis.
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