L’intérêt national est au-dessus des partis

Depuis quelques semaines, des médias se font l’écho de violences en marge de notre opposition à la réforme des retraites. Si certains font le choix de la déontologie en sollicitant notre point de vue sur les événements qui ont opposé des militants d’Action française à des milices antifas, que ce soit à Rennes, Paris ou encore Strasbourg, d’autres choisissent la partialité en ne communiquant pas sur les agressions subies par des jeunes royalistes.
Si l’Action française n’a pas une culture de la victimisation et ne se répand pas sur ce sujet dans la presse, c’est bien parce que la violence que nous dénonçons principalement est celle qui fait fi de l’intérêt national et qui, sur le terrain, des Gilets Jaunes à la réforme des retraites, est le fait de la « répression policière ».
Les antifas, création hybride entre extrême-gauche et hooliganisme, ne sont que les idiots utiles des gouvernements libéraux, de gauche comme de droite. L’Action française a subi ces dernières années son lot d’attaques : bombe agricole, grenade, agressions armées. Bien évidemment, les plaintes ont toutes été classées sans suite.
Aujourd’hui, nous appelons l’ensemble des Français à se mobiliser contre la réforme des retraites du gouvernement de M. Macron. Alors que Philippe Martinez, secrétaire-général de la CGT, appelait en mai 2017 à ce que « Macron fasse le score le plus haut possible », nous appelons, nous, l’ensemble du pays réel, dans cette lutte comme dans celle des Gilets Jaunes, à ne pas laisser la contestation être portée par quelques gauchistes, qui, en échange de prébendes personnelles, cherchent à détricoter davantage encore notre nation.

Le service politique

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