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Ils ont la haine de la France

Le sinistre de l’intérieur n’aime pas notre Histoire, il n’aime pas l’Histoire de France. Mais alors aime-t-il la France ? Où peut être considère-t-il qu’avant la Révolution la France n’existait pas ?

Ses services ont voulu interdire la manifestation pacifique organisée chaque année les 20 ou 21 janvier en réparation d’un véritable assassinat en place publique. L’exécution de Louis XVI constitue une tache dans notre histoire Française et singulièrement préside à l’avènement de la République, figure désincarnée, corrompue et sanglante du nouveau pouvoir.

Nous l’annoncions dans notre précédent papier :

« Une fois de plus, l’interdiction sera cassée par le tribunal Administratif et une fois de plus, non seulement la manifestation sera autorisée mais nous recevrons une indemnité substantielle. Bien sûr, nous contestons cette discrimination politique qui vise un mouvement pacifique, qui organise des commémorations sans jamais susciter la moindre violence ou le moindre désordre. Faut-il que la haine contre notre histoire, celle de la France, qui semble motiver cette persécution politique, soit ancrée au plus profond des tripes de ceux qui nous dirigent et sont censés assurer notre protection. »

Avouons que la « prophétie » était aisée, tant ceux qui organisent la persécution du pays réel sont prévisibles. Ainsi, Darmanin (de jardin) ampute notre Histoire et ce faisant ampute notre humanité. Nous lui proposions malicieusement de payer sa cotisation, plutôt que de faire payer à l’État des indemnités à répétition (en référence à une rumeur, non vérifiée, qui court sur son engagement dans nos rangs il y a quelques années).

Mais aujourd’hui, nous ne voulons plus plaisanter malgré le ridicule de la situation. Nous dénonçons le fait que lui, le président et l’ensemble du gouvernement, commettent un véritable crime en effaçant la France pour mieux installer l’Europe en « sautant comme des cabris ». Nous sommes consternés par cette politique de soumission aux puissances supranationales dont l’Europe n’est que la première marche. Nous nous battrons pour moins d’Europe et plus de France. Quand nous parlons de l’Europe, nous parlons du fantasme d’une organisation politique européenne à laquelle les rois capétiens se sont toujours opposés, et non à la civilisation chrétienne qui reste un héritage à partager.

Reprenons le contrôle et chassons les prédateurs de la nation.