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Moins d’Europe, plus de France

Combat royaliste

Moins d’Europe, plus de France

Par Philippe Germain

Les royalistes défendent le droit à penser autrement et pour cela s’appuient sur leur doctrine du nationalisme intégral. Celle-ci dénonce le régime des partis permettant la domination du pays légal sur le pays réel. Le pays légal est une oligarchie politico-techno-médiatique, vendue à l’étranger et soumise à l’impérialisme européen. Le pays réel, pour reprendre le contrôle de son destin par réappropriation de ses libertés et pouvoirs locaux, doit lutter contre l’Europe.

Une lutte nationale de réappropriation contre l’Europe impérialiste des technocrates, porteuse d’immigration, d’inflation et de perte de souveraineté. Une lutte contre l’Union-Européenne et l’idée unitaire d’Empire européen. Celle qui avec la brève tentative de Charlemagne finit dans l’éclatement du royaume franc. Celle qui fit rêver tant Charles-Quint que Napoléon et même Hitler. Celle qu’Ursula von der Layen proclamée impératrice par la Finance, concrétise sournoisement au détriment de l’intérêt français. L’impérialisme européen se développe contre la nation française et sa civilisation gréco-latine, au seul bénéfice financier du pays légal et de l’immigration de peuplement. Ce que la majorité des Français nomme le Grand remplacement.

Le pays réel doit lutter contre l’impérialisme européen, véritable tour de Babel supranationale car Jacques Bainville a dégagé une loi historique montrant qu’aucune fédération d’États n’est concevable sans fédérateur. L’« âme européenne » n’est pas un fédérateur politique, tout juste une chimère métapolitique. L’impérialisme européen conduit toujours à la catastrophe

Moins d’Europe et plus de France. Voilà pourquoi l’Action française se porte en avant-garde de la lutte pour la souveraineté nationale. En revanche, prête au compromis avec tous les patriotes elle refuse de marcher aux cotés de démagogues ambigus. Eurocrate ou nationaliste, chacun doit choisir franchement son camp, des euro-révolutionnaires, aux populistes et aux conservateurs.

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Tout le monde déteste la république.

Pays réel reprend le contrôle.