Par Frère Diacre Jean Yves Metayer Robbes.
On ne peut pas évoquer la question de l’ordre dans la nation sans avoir accordé au « respect » une priorité incontournable dans l’organisation de la cité.
Le vieux monde a délaissé le respect à tous les niveaux de la société dite « moderne ».
Où en est le respect de l’être humain, le respect du prochain dans ce monde du chacun pour soi où règnent la pensée unique et la haute finance internationale ?
Dans le futur monde qui arrive, le respect reprendra toute sa place dans une société de justice et de liberté « juste », car juste la liberté ne suffit pas.
Pour que la liberté soit bonne, servir la cause du peuple, de la nation, ne doit-elle pas s’arrêter là où commence celle d’autrui, mais faut-il encore
respecter cet autre qui est en face de nous-mêmes ?
Là commence l’ordre, lorsque les citoyens sont conscients de l’interdépendance des êtres humains et de leurs actions, individuelles et collectives, au sein de la nation.
L’ordre n’est-il pas d’abord en soi, dans une recherche intérieure, pour ensuite rechercher cette harmonie avec les autres ?
La république française passe son temps à diviser pour tenter de régner. Pire, elle organise le désordre dans tous les secteurs, santé publique, éducation nationale, économie, sécurité des personnes, transports. Le grand désordre républicain n’est plus à prouver. Les Français sont tous victimes de ce désordre.
Voilà pourquoi il est de la responsabilité des êtres conscients et courageux de travailler ensemble pour construire un projet politique alternatif pour mettre fin à ce système oligarchique de destruction de la nation française.
Frère Diacre Jean Yves Marie Métayer Robbes