Le 23 juin dernier, quelques éléments contenus dans le rapport du GIEC (plus précisément dans le résumé pour les décideurs – SPM) , encore à l’état de brouillon, fuitaient dans la presse. Propos alarmistes qui annoncent un certain nombre de conséquences à venir en raison d’un réchauffement climatique, prévu par les projections de modèles numériques dont la crédibilité est encore et toujours très douteuse.
« C’est une fable que tu nous as racontée, dit avec mépris le berger peul. – Oui, répliqua le chasseur de crocodiles, mais une fable que tout le monde répète ressemble fort à la vérité ! » (J. et J. Tharaud, La Randonnée de Samba Diouf, Fayard, 1927)
Le GIEC est un machin intergouvernemental, non scientifique, qui a été créé sous l’égide du grand « machin » onusien pour diffuser l’idéologie du réchauffement climatique anthropique à cause de nos émissions de gaz carbonique (CO2) et qui, pour ce faire, instrumentalise la science. Les statuts du GIEC, avant toute étude scientifique, stipulent qu’il y a réchauffement et que la seule cause en sont nos émissions de CO2, ce qui est une démarche antiscientifique. Donc, le GIEC va tout faire pour nous persuader que « la science a parlé ».
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