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L’imposture des droits sexuels

Par Ariane Biheran

Intéressante analyse de l’écrivain Ariane Biheran dans son dernier ouvrage : « L’imposture des droits sexuels » dont voici un morceau choisi.

Les « droits sexuels » sont une nouvelle idéologie à la mode, portée par différentes instances internationales en matière de santé, et en particulier, en matière de santé des mineurs. Dans cet essai radical, Ariane Bilheran propose, sans exhaustivité, une analyse des dérives déjà existantes en France, au travers de  » l’éducation à la sexualité » ainsi qu’une étude littérale de nombreux passages de la « déclaration des droits sexuels » qui soutient une telle idéologie pédophile, sous couvert de lutter pour les droits des homosexuels, les droits des femmes et les droits à la santé. La philosophe et psychologue démontre, dans la lignée de ses travaux approfondis sur la psychologie du pouvoir, combien la perversion est toujours l’adjuvante de la paranoïa dans l’avènement du totalitarisme. Elle décrypte ici les mécanismes pervers qui contribuent à la mise en œuvre de ce « nouvel ordre mondial » au travers de la transgression sexuelle des enfants et adolescents. Lorsque les fous sont au pouvoir, ils imposent leur délire, sur la base d’une contagion délirante qu’il s’agit d’identifier pour s’en prémunir. Ils détruisent les enfants et persécutent les sains d’esprit. « Ainsi, aussi incroyable que cela puisse paraître, toute la “déclaration des droits sexuels” est fondée sur un sophisme manipulant l’opinion publique en ayant faussé le raisonnement logique. » « Lequel sophisme a pour conséquence d’entraîner un pervertissement des mœurs de la société, et d’encourager à la libre pratique sexuelle des pédophiles. » « Le simple fait de parler de “droits sexuels”, c’est-à-dire, de “sexualité” pour l’enfant relève d’une transgression psychique majeure. » « Il s’agit d’une infiltration idéologique majeure de la pédophilie, dans les textes internationaux s’imposant aux pays, en instrumentalisant de façon perverse les droits des homosexuels, les droits des femmes et les droits à la santé, pour d’autres intentions beaucoup moins louables. » « Par définition l’enfant n’est pas en maturité sexuelle donc il n’y a rien à lui dire de la sexualité qui pourrait faire effraction traumatique. » « Avec les « droits sexuels », il ne s’agit ni de droits, ni de protection, mais de la jouissance perverse de ceux qui ont les moyens de se l’offrir sur le dos des plus vulnérables (les enfants), en instrumentalisant les revendications d’autres populations vulnérables (idéaux invoqués pour manipuler, encore une fois, les masses, et surtout les homosexuels, les femmes, les pauvres, sur les bons sentiments). » « Face à ce nouveau visage du totalitarisme mondial, qui consiste à séduire les enfants, à les plonger dans l’indifférenciation sexuée et la confusion, face au déni total de la démocratie et de la souveraineté des peuples, au nom des « droits » (inversion paranoïaque par excellente), face à la violence des organisations internationales qui imposent leur délire à tous, j’en appelle à la raison, à la mobilisation mondiale contre ces « droits sexuels », ainsi qu’à des initiatives individuelles et collectives de conscience, pour sauver les enfants de cet attentat à l’humanité. Même petites, mêmes infimes, ces initiatives feront la différence pour sauver l’innocence de l’enfance, qui est notre seul avenir possible de paix. »