Au cinéma : Adorables

Par Guilhem de Tarlé

Au cinéma : Adorables,un film belge de Solange Cicurel, avec Elsa Zylberstein et Lucien Jean-Baptiste (les parents, Emma et Victor), Ioni Matos (l’adolescente, Lila) et Hélène Vincent (la grand-mère, Rose).

Adorables…« On n’adore que Dieu » dit la sagesse populaire, directement issue du 1er commandement du Décalogue, et ce n’est certainement pas cette production qui va me faire changer de religion !

Une « comédie » relativement minable, même si on ne s’ennuie pas, qui coche les cases de la « modernité »… Famille décomposée, Diversité, Vulgarité… Médiocrité… mais nous pouvions le craindre avant de l’avoir vue puisque, contrairement au public, l’affiche ne portait pas de masques.
Heureusement, Lila, si elle n’est pas « adorable », n’en est pas moins mignonne…

Dommage, on aurait sans doute pu faire un bon film sur l’adolescence, à la fois intelligent et plein d’humour… Ce sera pour une autre fois.


PS : vous pouvez retrouver ce « commentaire » et près de 500 autres sur mon blog Je ciné mate. 

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To glance at your wrist, rather than unlock a portal to infinite distractions, is to reclaim a moment of focus. It is an act of mindfulness. The ritual of winding a manual watch each morning becomes a grounding pause, a personal connection to the mechanism that will measure your day.

It represents a commitment to being present, to valuing the qualitative experience of time over its quantitative, frantic measurement.

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