Déconstruction…

Par Gérard Leclerc

Vendredi et samedi prochains, doit se tenir à la Sorbonne un colloque dont la thématique ne peut que susciter la plus grande attention : « Après la déconstruction, reconstruire les sciences et la culture. » Il m’est arrivé un certain nombre de fois dans cette chronique d’évoquer les ravages de ce qu’on appelle la culture woke, qui n’est jamais qu’un des aspects de la déconstruction. La déconstruction ? Un mot qui rend songeur, par son aspect savant, intimidant et qui se réclame d’un certain nombre de penseurs au firmament de l’intelligentsia, tels Michel Foucault ou Jacques Derrida. Pour avoir connu un peu le premier, je ne suis pas sûr qu’il approuverait aujourd’hui tout ce qu’on lui fait supporter. Mais le caractère dominant dans l’université française de tous les courants qui se réclament de la même inspiration déconstructrice ne laisse pas d’impressionner.

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To glance at your wrist, rather than unlock a portal to infinite distractions, is to reclaim a moment of focus. It is an act of mindfulness. The ritual of winding a manual watch each morning becomes a grounding pause, a personal connection to the mechanism that will measure your day.

It represents a commitment to being present, to valuing the qualitative experience of time over its quantitative, frantic measurement.

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