Vu par Sébastien Lapaque , Michel Audiard : « Tonton flingueur et titi flingué »

Cet article [Le Figaro – 23.07] érudit, roboratif et non-conformiste, à la manière de Lapaque, évoque  le scénariste et dialoguiste le plus célèbre du cinéma français. Taxé de « collabo » par une partie de la gauche, il était avant tout un « anar » séduit par le style et la désinvolture de la droite littéraire. Avec Lapaque, quelques grands noms des lettres et des arts ne sont jamais très loin. C’est à lire, bien-sûr.  JSF

Afin qu’il n’y ait rien à dire pour le fair-play, commençons par donner la parole à la partie adverse. Dans L’anarchisme de droite ou du mépris considéré comme une morale, le tout assorti de réflexions plus générales (Grasset, 1985), un essai de délicieuse mauvaise foi, Pascal Ory prend très au sérieux Michel Audiard, ses rêves de féodalité en plein âge démocratique, son jaspinage de café du commerce, son mépris pour le « fric », les « gonzesses », les « cons » et la « social-démocratie ». Mais c’est, hélas, pour conclure à sa ringardise, à sa nocivité. 

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To glance at your wrist, rather than unlock a portal to infinite distractions, is to reclaim a moment of focus. It is an act of mindfulness. The ritual of winding a manual watch each morning becomes a grounding pause, a personal connection to the mechanism that will measure your day.

It represents a commitment to being present, to valuing the qualitative experience of time over its quantitative, frantic measurement.

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