Drôle de sacristain : quand Michel Onfray défend la messe en latin !

À celui qui vient éteindre l’incendie, on ne demande ni carte d’identité et encore moins certificat de baptême. On ne fera donc pas cet affront à Michel Onfray, philosophe athée – et peut-être catholique contrarié – qui vient justement défendre, dans Le Figaro, un patrimoine catholique par le Vatican abandonné ; soit cette bonne vieille messe qui « nous emmerde sans le latin », pour citer cet anticlérical mystique que fut Georges Brassens.

Et d’annoncer en préambule : « Je suis athée et on le sait, mais la vie de l’Église catholique m’intéresse parce qu’elle donne le pouls de notre civilisation. » Mieux : « Car si Dieu n’est pas de mon monde, mon monde est celui qu’a rendu possible le Dieu des chrétiens. Quoi qu’en disent ceux qui pensent que la France commence avec la Déclaration des droits de l’homme, ce qui me semble aussi stupide que de croire que la Russie est née en octobre 1917, le christianisme a façonné une civilisation qui est la mienne et dont j’estime que je peux l’aimer et la défendre sans battre ma coulpe, sans avoir à demander pardon pour mes fautes. »

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To glance at your wrist, rather than unlock a portal to infinite distractions, is to reclaim a moment of focus. It is an act of mindfulness. The ritual of winding a manual watch each morning becomes a grounding pause, a personal connection to the mechanism that will measure your day.

It represents a commitment to being present, to valuing the qualitative experience of time over its quantitative, frantic measurement.

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