Antisémitisme, islamisme et racisme… bienvenue chez Demba Ba

Il était le héros de la soirée qui aura vu le match PSG-Istamboul BB arrêté pour une sombre affaire de racisme. Le joueur d’Istamboul Demba Ba est sorti de son banc pour aller passer un savon au quatrième arbitre roumain qui aurait qualifié l’entraîneur adjoint du club turc « d’homme noir ».
La presse a donc célébré comme il se doit ce nouvau héraut de l’antiracisme dans une flopée d’articles encenseurs :

PSG-Basaksehir : Demba Ba, leader de vestiaire https://t.co/Gf4mqOgsdd via @libe

— Romain Boulho (@RomainBoulho) December 9, 2020

Pierre Achille Webo et Demba Ba, les footballeurs qui ont dit « non au racisme » https://t.co/RGbwsBnLuQ

— Le Monde (@lemondefr) December 9, 2020

Or, on ne devrait jamais écrire d’article avant d’avoir vérifié les faits. Libération et Le Monde, pros du « fact-checking », devraient le savoir. Il fallait compter sur une internaute opiniâtre pour dérouler la vérité sur le joueur Demba Ba, dont le compte Twitter se révèle être édifiant…

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To glance at your wrist, rather than unlock a portal to infinite distractions, is to reclaim a moment of focus. It is an act of mindfulness. The ritual of winding a manual watch each morning becomes a grounding pause, a personal connection to the mechanism that will measure your day.

It represents a commitment to being present, to valuing the qualitative experience of time over its quantitative, frantic measurement.

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