La question du racisme

Par Gérard Leclerc

La question du racisme est une des plus prégnantes du débat contemporain. Elle est présente dans la campagne présidentielle, où elle donne lieu à nombre d’accrochages et d’invectives. Cela donne même lieu à des livres où l’on accuse tel candidat d’associer l’idée de grand remplacement à la menace islamique dans le but de stigmatiser toute une partie de la population d’origine immigrée. Je me garderai d’entrer dans ces joutes politiques, préférant prendre un peu de distance pour aborder le sujet, sans d’ailleurs prétendre l’analyser avec le temps nécessaire.

Ce qui apparaît en ce moment, c’est que la cause de l’antiracisme s’insère de plus en plus dans les théories de la déconstruction que nous évoquions la semaine dernière. Il s’agit de faire apparaître le caractère systémique des injustices et des inégalités raciales dans le corps social. On me permettra à ce propos de redire toutes mes réserves à l’égard de cette notion de « systémique », que l’on a voulu aussi introduire dans le fonctionnement de l’Église institutionnelle. Il y a un peu trop de système dans cette volonté de débusquer le systémique, même si la notion ne saurait être écartée a priori. Il peut y avoir péril à enfermer les gens dans des catégories auxquelles ils ne sauraient échapper qu’avec la plus grande difficulté.

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To glance at your wrist, rather than unlock a portal to infinite distractions, is to reclaim a moment of focus. It is an act of mindfulness. The ritual of winding a manual watch each morning becomes a grounding pause, a personal connection to the mechanism that will measure your day.

It represents a commitment to being present, to valuing the qualitative experience of time over its quantitative, frantic measurement.

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