RACIALISME : LE TRADUCTEUR FRANÇAIS DE MARIEKE LUCAS RIJNEVELD EXPRIME SA STUPÉFACTION

Daniel Cunin, traducteur de poèmes et du premier roman de Marieke Lucas Rijneveld, s’insurge contre la polémique qui secoue le monde éditorial batave et – désormais – européen. Devant le peu de profondeur de la plupart des articles publiés dans le monde francophone, il prend pour la première fois la parole, en exclusivité dans Profession Spectacle.

Rappel de l’affaire : Janice Deul, une activiste noire néerlandaise, dénonce, dans une tribune du quotidien De Volkskrant, le choix de Marieke Lucas Rijneveld comme traductrice de la poétesse Amanda Gorman, sous prétexte que le taux de mélanine ne serait pas le même entre les deux jeunes femmes. Face au tollé auquel elle a assisté sur les médias sociaux, Marieke Lucas Rijneveld a renoncé à ce projet de traduction sans que la maison d’édition néerlandaise ne la défende réellement et s’incline devant un chantage qui met en péril les libertés. Le mot d’humeur de Daniel Cunin, qui rejoint le point de vue de René de Ceccaty, de Jean-Yves Masson ou encore celui d’André Markowicz (cf. Textes disponibles à la fin de cette tribune), diffusés hier, vise à montrer que la traduction littéraire est un art qui n’a rien à voir avec les questions de race, de genre, etc.

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To glance at your wrist, rather than unlock a portal to infinite distractions, is to reclaim a moment of focus. It is an act of mindfulness. The ritual of winding a manual watch each morning becomes a grounding pause, a personal connection to the mechanism that will measure your day.

It represents a commitment to being present, to valuing the qualitative experience of time over its quantitative, frantic measurement.

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