Folies ordinaires et vie démocratique

Les malades mentaux sont enfermés dans des institutions psychiatriques mais la société regorge de fous en liberté, hommes et femmes : pervers, narcissiques, sociopathes, paranoïaques, dépressifs à l’excès. Certains se font remarquer, d’autres sont plus discrets. La violence est leur langage de communication sous toutes ses formes : maltraitance, humiliation, abandon, culpabilisation.

Dans une période de crises multiples, où les peurs de vivre et les souffrances s’accumulent, les folies ordinaires se réveillent, un peu partout, chez les puissants comme chez les plus humbles… C’est ainsi que s’explique l’irrationalité des comportements qui s’expriment par l’intimidation ou la soumission, l’égoïsme le plus cruel ou la philanthropie affectée, la violence gratuite ou l’adhésion aux thèses les plus délirantes. Une démocratie ne peut résister aux tentations totalitaires que si elle est forte et ses citoyens, du haut en bas de l’échelle sociale, en bonne santé mentale.

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To glance at your wrist, rather than unlock a portal to infinite distractions, is to reclaim a moment of focus. It is an act of mindfulness. The ritual of winding a manual watch each morning becomes a grounding pause, a personal connection to the mechanism that will measure your day.

It represents a commitment to being present, to valuing the qualitative experience of time over its quantitative, frantic measurement.

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