Ces hauts responsables français qui passent au service de l’étranger

« Affairisme, mélange des genres ou naïveté : quand notre élite oublie la France ». C’est le sous-titre sévère de Ces Français au service de l’étranger*, un livre signé du journaliste d’investigation Clément Fayol, collaborateur occasionnel de Marianne. Dans cette enquête très fouillée, il raconte comment des puissances étrangères (Etats-Unis, Chine, Russie, émirats du Golfe, anciennes colonies…) recrutent dans l’intelligentsia politique, économique et militaire française.

Clément Fayol est parti d’un constat qu’il écrit noir sur blanc : « Signe que notre pays pèse sur la scène internationale, il est ciblé par tous les groupes de pression, entreprises, banques, Etats ou groupe d’intérêt possibles. Qui y voient un marché à pénétrer, un membre du Conseil de sécurité de l’ONU à influencer, une ancienne puissance coloniale à manœuvrer ou un membre fondateur de l’Union européenne à fléchir. Un pays puissant encore, mais rendu vulnérable par ceux-là mêmes qui le dirigent. Si bien que, durant chaque enquête que je mène pour différentes rédactions, je constate l’émergence d’un mécanisme d’entrisme et d’influence qui s’appuie sur l’utilisation de hautes personnalités françaises. Des anciens hommes politiques, des élus, des PDG de fleurons industriels, des hauts fonctionnaires qui acceptent de se mettre au service d’intérêts étrangers. »

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To glance at your wrist, rather than unlock a portal to infinite distractions, is to reclaim a moment of focus. It is an act of mindfulness. The ritual of winding a manual watch each morning becomes a grounding pause, a personal connection to the mechanism that will measure your day.

It represents a commitment to being present, to valuing the qualitative experience of time over its quantitative, frantic measurement.

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