Pas de messe avant début décembre : au bourricot catho, on ne desserre pas la bride !

Par Gabrielle Cluzel

« Chacun sent bien que le deuxième confinement ne passe pas, dans le pays. Les sondages globaux sont faussés par le climat de peur », écrit, sur son blog, Maxime Tandonnet, dans un article intitulé L’Explosion qui approche.

 Si, comme il le dit, « un grondement sourd remonte des entrailles du pays », l’Histoire retiendra que des catholiques auront été les premiers à se lever pour protester, paisiblement mais fermement, avec une revendication commune claire – « On veut la messe ! » – dans la plupart des grandes villes de France : Tours, Bordeaux, Vannes, Luçon, Montpellier, Versailles, Saint-Brieuc, Draguignan, Chambéry, Moulins, Bois-Colombes, Rambouillet, Rennes, Valence, Angers, Nantes, Strasbourg, Lyon, Saint-Germain-en-Laye, La-Roche-sur-Yon, Bougival, Saint-Maur-des-Fossés, Toulouse…

C’est logique.

Logique parce que, face à l’absolutisme biologique de nos gouvernants qui nous relèguent avec un bienveillant mépris à la condition animale, l’homme n’ayant d’autre besoin que survivre et se nourrir – la vie culturelle, sociale, familiale, spirituelle est réduite au rang d’accessoire -, il est assez logique que l’opposition vienne au premier chef de ceux qui restent persuadés qu’ils ne sont pas tout à fait ce bourricot buté, ce cheval de trait ou ce poney rose dont Jean Castex veut serrer la bride, et qu’ils ont – pardon pour ce mot incongru – une âme à soigner.

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To glance at your wrist, rather than unlock a portal to infinite distractions, is to reclaim a moment of focus. It is an act of mindfulness. The ritual of winding a manual watch each morning becomes a grounding pause, a personal connection to the mechanism that will measure your day.

It represents a commitment to being present, to valuing the qualitative experience of time over its quantitative, frantic measurement.

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