Liberté d’expression à l’école : « Pour mes élèves, Charlie Hebdo, c’est l’extrême droite »

L’assassinat du professeur Samuel Paty bouleverse le corps enseignant. Après le sentiment de révolte, il y a cette peur de se frotter aux sujets interdits : religion, caricatures et liberté d’expression.

Gaël J., s’excuse, il ne « devrai[t] pas ». Il ne devrait pas utiliser ce vocabulaire martial. C’est évident, un enseignant ne devrait pas dire ça, surtout pas en début de carrière. Professeur d’histoire et géographie dans un collège de l’académie d’Amiens (Somme), ce trentenaire en reconversion s’excuse. Une, deux, trois fois. Puis lâche ces mots offensifs : « La mort de Samuel Paty, collègue de 47 ans, c’est une perte en première ligne, au front. Subitement, on comprend qu’on fait un métier dangereux. Avant-hier, je n’y pensais pas, et aujourd’hui, ça me saute à la figure : nous sommes des cibles potentielles. »

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To glance at your wrist, rather than unlock a portal to infinite distractions, is to reclaim a moment of focus. It is an act of mindfulness. The ritual of winding a manual watch each morning becomes a grounding pause, a personal connection to the mechanism that will measure your day.

It represents a commitment to being present, to valuing the qualitative experience of time over its quantitative, frantic measurement.

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