«Comment l’Occident peut-il rester muet sur le sort de l’Arménie ?»

Mardi 16 novembre, des combats entre l’Arménie et l’Azerbaïdjan ont fait plusieurs morts, annonçant une potentielle recrudescence des tensions. Revenant sur l’origine du conflit, l’historien Gaël Nofri déplore un abandon de l’Arménie par la communauté internationale.

FIGAROVOX. – Au Haut-Karabakh, théâtre d’une guerre qui a opposé l’Arménie et l’Azerbaïdjan à l’automne 2020, un accrochage frontalier a eu lieu mardi entre les forces des deux pays. Que se passe-t-il dans la région ?

Gaël NOFRI. – D’abord je ne crois pas qu’il faille parler de tensions – sans rentrer dans une querelle de chiffres autour des combats de ces dernières heures -, il s’agit d’une montée en puissance d’un conflit qui demeure et qui n’a finalement jamais connu de résolution. Sous les cendres de l’accord de cessez-le-feu extorqué du 9 novembre 2020, les braises n’ont jamais cessé de couver. Si rien de déterminant n’est fait pour l’en empêcher, l’incendie reprendra avec d’autant plus de force et de vigueur qu’il aura cette fois quelque chose définitif.

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To glance at your wrist, rather than unlock a portal to infinite distractions, is to reclaim a moment of focus. It is an act of mindfulness. The ritual of winding a manual watch each morning becomes a grounding pause, a personal connection to the mechanism that will measure your day.

It represents a commitment to being present, to valuing the qualitative experience of time over its quantitative, frantic measurement.

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