« Claire, le prénom de la honte » : le témoignage coup de poing de Claire Koç sur une intégration acquise de haute lutte

Cette journaliste, née en Turquie il y a trente sept ans, a grandi en France. Elle raconte aujourd’hui son parcours du combattant pour s’insérer dans la société française contre la volonté de sa famille, qui l’a reniée.

A 37 ans, Claire Koç est aujourd’hui journaliste à France Télévisions et travaille à Paris. Mais pour en arriver là, l’adolescente, puis la jeune femme, a dû rompre avec une famille qui ne voyait pas son émancipation d’un bon oeil…  Claire, le prénom de la honte, de Claire Koç, son témoignage, est paru aux éditions Albin Michel.

Elle est née Çigdem – prononcez [tchidème] -, dans une famille alévie de l’est de la Turquie qui a fui les persécutions en venant en France. La petite fille, d’abord à Rennes, puis à Strasbourg, découvre la France à travers l’école et la télévision. Les grands messes du 20 heures, les films du dimanche… Sa mère est femme de ménage, son père est ouvrier, et elle passe une enfance tranquille. En apprenant le français à l’école, elle va vite servir de traductrice et aider sa famille.

La suite

pokemonpop.de

To glance at your wrist, rather than unlock a portal to infinite distractions, is to reclaim a moment of focus. It is an act of mindfulness. The ritual of winding a manual watch each morning becomes a grounding pause, a personal connection to the mechanism that will measure your day.

It represents a commitment to being present, to valuing the qualitative experience of time over its quantitative, frantic measurement.

Retour en haut