À Sciences-Po Grenoble, les accusations d’islamophobie envers des enseignants divisent le campus

Un syndicat étudiant de Sciences-Po Grenoble accuse des enseignants d’avoir tenu des propos islamophobes. Face à eux, des professeurs et d’autres étudiants dénoncent des accusations sans fondement. Un maître de conférence visé par les accusations est terrorisé par la situation. 

C’est une bataille verbale que certains craignent de voir déraper en violences physiques, quelques mois après l‘assassinat du professeur d’histoire-géographie Samuel Paty. Sur le campus de Sciences-Po Grenoble, un syndicat étudiant, l’Union syndicale de l’IEP de Grenoble (USIEPG), a allumé une mèche en accusant un enseignant d’avoir tenu des propos islamophobes et en menant son « enquête » sur les cours d’un second enseignant. 

Selon le syndicat étudiant USIEPG, qui reprend des propos diffusés par le collectif « Sciences Po Grenoble en lutte », un professeur d’allemand aurait prononcé des mots discriminants lors de la préparation d’une journée intitulée « Racisme, islamophobie, antisémitisme » dans le cadre de la semaine de l’égalité qui se tenait du 30 novembre au 6 décembre 2020 sur le campus. 

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