Arménie, un choc des civilisations, de Michel Onfray

La semaine durant, les médias mainstream ainsi que les célébrités du petit écran ou du ballon rond ont choisi leur indignation : un arbitre de football a désigné un entraîneur virulent sur le bord du terrain par un signe physique distinctif. S’il avait été roux, blond, il l’aurait désigné comme roux ou blond ; il avait la peau noire, il l’a désigné comme noir. La propagande « antiraciste » s’est ensuite enclenchée et tous ses mécanismes se sont actionnés, avec son lot de sportifs, journalistes, politiques, de mise en scène les genoux à terre… Habituel.

Pendant ce temps, le documentaire de Michel Onfray a été mis en ligne pour témoigner de la guerre au Haut-Karabakh. Seul avec son équipe de tournage, il réalise un film qui donne à voir des faits, qui livre des témoignages de terrain. La population arménienne installée dans cette région depuis des siècles a laissé derrière elle ses maisons, ses écoles, ses églises, ses monastères, ses tombes. Les troupes arméniennes ont été submergées par les forces azéries, appuyées par des mercenaires djihadistes venus de Syrie ainsi que le soutien militaire turc et ses technologies modernes.

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To glance at your wrist, rather than unlock a portal to infinite distractions, is to reclaim a moment of focus. It is an act of mindfulness. The ritual of winding a manual watch each morning becomes a grounding pause, a personal connection to the mechanism that will measure your day.

It represents a commitment to being present, to valuing the qualitative experience of time over its quantitative, frantic measurement.

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