Le 14 juillet est à haut risque, mais plus encore la rentrée. Il est des hauts fonctionnaires qui remplissent leurs devoirs, quoique tout soit fait pour les décourager, y compris la prime à la trahison et même à l’assassinat : les vieilles mœurs de la République depuis toujours, celle qui se défend elle-même et sert ses affidés, quitte à détruire la France, à diviser et ruiner les Français, voire jusqu’à la catastrophe. En pareils cas, ceux qui la mènent en sous-main, savent pertinemment ce qu’ils font. Ils se placent aux bons endroits et ils touchent les revenants-bons, car il y a des revenants-bons. Comme dans les mafias ! Évidemment, il est interdit de le dire. La consigne en haut lieu est de faire taire de toutes les manières – il faut bien préciser : de toutes les manières – ceux qui pourraient mettre en garde contre les risques des folles politiques poursuivies, quelques-unes depuis des décennies, mais plus spécifiquement depuis 2017, tant sur le plan intérieur que sur le plan extérieur. Les gens avertis comprennent parfaitement à quel point les deux sont liés indissolublement et rendent pratiquement illusoire toute velléité de retrouver une marge d’autonomie et donc de manœuvre. Aussi faut-il pour le régime maîtriser l’information. D’où les attaques en règle sur toute expression libre d’une pensée nationale, traditionnelle ou simplement critique. Ces derniers temps ont été marqués par toutes sortes de décisions liberticides en vue d’étouffer toute réaction salutaire : TV Libertés, mais aussi bien CNews et tout organe qui ne dépend pas de l’État.
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