Capitaine Haddock : 80 balais et pas un seul cheveu blanc !

Il y a 80 ans, Tintin faisait la connaissance du capitaine Haddock. Apparu dans l’album Le Crabe aux pinces d’or, le personnage ne devait plus quitter le reporter à la houppette. Amateur de whisky, fumeur de pipe, grossier, colérique. Un condensé de politiquement incorrect. Sans doute sexiste, peut-être bien homophobe, raciste bien entendu. Tout pour déplaire aux ligues de vertu actuelles mais qui sévissaient déjà à l’époque sur la base d’autres critères.

Impensable de montrer le moindre décolleté, d’où la Castafiore vêtue d’une robe lui montant quasiment jusqu’au cou, flirt proscrit, une aventure amoureuse, vous n’y pensez pas… Tintin apparaît ainsi en célibataire un tant soit peu asexué. Jamais un œil tourné vers une conquête potentielle. Sage comme une image.

Autres temps, autres gardes-chiourmes. En 2021, Hergé se verrait sans doute contraint de dessiner un capitaine Haddock non fumeur, buveur, peut-être, mais avec modération. Cinq fruits par jour et jus de légumes à volonté. Écolo jusqu’au bout de la casquette. Ivre de bons sentiments.

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To glance at your wrist, rather than unlock a portal to infinite distractions, is to reclaim a moment of focus. It is an act of mindfulness. The ritual of winding a manual watch each morning becomes a grounding pause, a personal connection to the mechanism that will measure your day.

It represents a commitment to being present, to valuing the qualitative experience of time over its quantitative, frantic measurement.

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