Un mauvais climat

par Gérard Leclerc

Le climat moral et social est plutôt morose en ce moment, pas seulement à cause de la nouvelle vague épidémique… Est-il vrai que Paris serait devenu invivable et que l’Éducation nationale serait en pleine décadence ?

La présence du Mont-Valérien, que j’évoquais dans ma dernière chronique, a cette vertu d’attirer vers le haut. Évoquer ceux qui ont fait le sacrifice de leur vie au service de la patrie, se souvenir de ce héros de la charité qu’était l’abbé Franz Stock, c’est communier à tout ce que notre humanité contient de meilleur. Mais lorsqu’on descend de la colline vers la grande ville, pour peu qu’on ait les yeux grands ouverts, c’est une autre réalité qui nous rattrape.

Est-il vrai, comme l’explique au Parisien Stéphane Bern, que Paris, la Ville Lumière, devient invivable ? Il dénonce : « La saleté, les trous dans la chaussée, les chantiers permanents, le bruit et surtout la violence. » Selon ce défenseur acharné du patrimoine, non seulement Paris s’enlaidit, mais il devient inhabitable, surtout pour les personnes âgées, les personnes handicapées, les enfants. N’ayant guère arpenté les rues de la capitale ces derniers mois, je ne saurais corroborer un tel jugement, suivi d’effet, puisque Stéphane Bern a décidé d’abandonner son appartement parisien pour se réfugier dans sa maison de campagne. À nos auditeurs parisiens d’en juger !

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To glance at your wrist, rather than unlock a portal to infinite distractions, is to reclaim a moment of focus. It is an act of mindfulness. The ritual of winding a manual watch each morning becomes a grounding pause, a personal connection to the mechanism that will measure your day.

It represents a commitment to being present, to valuing the qualitative experience of time over its quantitative, frantic measurement.

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