Institution
Face à la République désespérante…
La République est désespérante… Alors que la situation géopolitique et les diverses crises qui affectent notre société (en particulier la crise de la dette et celle de la confiance des
Le comte de Paris face aux épreuves de la Nation
La France s’enlise. Colère dans la rue, institutions fragilisées, dette record, société fragmentée : notre pays traverse une crise profonde. Dans ce climat explosif, une voix inattendue s’élève, celle de
Monarchie Dynasties du monde ; La jeunesse britannique rêve d’un retour à la monarchie absolue
Une étude récente révèle qu’une part importante de la jeune génération remet en cause la démocratie, au profit d’un pouvoir royal absolutiste et sans Parlement. Décryptage d’un paradoxe que certains jugent très
GÉOPOLITIQUE PROFONDE : L’ASSASSINAT MÉTHODIQUE DE LA FRANCE PAR LA RÉPUBLIQUE | HILAIRE DE CRÉMIERS
. La République française n’est plus un État souverain. Ce qu’on appelle encore l’État n’est qu’un simulacre : un ensemble d’institutions dévitalisées, mises au service d’intérêts idéologiques. Ministères, agences, commissions
Un espoir, le roi
Nous aurions pu attendre un jour de plus. Et un encore pour surveiller la guerre au Moyen-Orient. Et un encore pour savoir quelle exposition Macron (rappelez-vous, on l’appelait le French
Prince Jean : un roi pour la République ?
Dans cette seconde Conversation (qui se comprendra mieux si l’on a vu la première, diffusée le 13 octobre dernier), le prince Jean, chef de la Maison de France, aborde quelques
« La question de la République » relancée ! En marge de ses Conversations avec le Comte de Paris, Paul-Marie Coûteaux confirme sur TVL : « Il faut un pouvoir impartial à la tête de la France ! »
JSF a déjà publié le 1er des 2 entretiens accordés à TVL par le Comte de Paris (Lien). Le 2d suivra bientôt. Paul-Marie Coûteaux revient ici à la charge à la fois pour un
Prince Jean de France : La question de la République est posée
Eté 2024 : à la faveur d’une dissolution improvisée, éclate l’un des plus lourds nuages qui assombrissent depuis des années le sort de la France, l’aporie nos institutions. Si la
Le commencement de la fin
Des ministres qui votent en tant que députés à l’assemblée nationale selon les stratégies des partis et qui, en même temps, ce qui est très macronien, continuent d’exercer leurs fonctions
Est-ce que « le président se meurt » comme le pense Dominique Jamet ? Le « président » peut-être. Mais Emmanuel Macron ?
Je ne suis pas du tout de l’avis de Dominique Jamet. Je pense, pour ma part, qu’Emmanuel Macron est dans la phase la plus aiguë de son narcissisme orgasmique. Vous
Les élections ne suffiront pas…
Cette campagne électorale des législatives ne remettra évidemment pas en cause la République, malgré les grandes exclamations et déclamations des défenseurs autoproclamés de celle-ci, et les idées royalistes ou les
Frédéric Rouvillois sur l’article 16 : « le Président peut enrayer toute la machine »
Agrégé de droit public, Frédéric Rouvillois enseigne le droit constitutionnel et les libertés fondamentales à l’université de Paris. Il a publié une trentaine d’ouvrages, dont le dernier, Politesse et politique, publié
Dissolution de l’Assemblée : S’interroger sur les profonds changements de la société française
Ce qui s’est passé dimanche, une grave défaite pour le pouvoir et la décision qui s’en est suivie, ne s’explique pas par un simple réflexe de mécontentement de l’opinion. Pour
La République du 49.3.
Par Jean-Philippe Chauvin Ainsi, nous y sommes : le premier ministre qui, en d’autres temps (ceux de son opposition au pouvoir hollandiste), dénonçait le recours gouvernemental à l’article 49.3, en use
La monarchie, c’est la démocratie plus un
À en croire certains, ce que détesteraient avant tous les gilets jaunes ne serait autre que la « monarchie républicaine », incarnée par le président Macron. D’où ils déduisent, tout fiers de leur
Royalistes et Gilets jaunes, aujourd’hui.
En ce début février, les manifestations des Gilets jaunes n’ont pas cessé, et si le nombre des manifestants semble décroître, il n’est pas certain que les raisons de manifester, elles,
Contre le règne des partis, quelles institutions ?
Les partis politiques sont épuisés, si l’on en croit le nombre d’adhérents à jour de leur cotisation, et l’opposition, sous ses diverses étiquettes, ne semble pas mieux se porter que












