Par Olivier Perceval
Secrétaire Général
Dominique Reynié le patron de Fondapol attirait l’attention des pouvoirs publics – cette semaine par suite des dernières agressions visant des petits enfants à Annecy et une grand-mère et sa petite fille à Bordeaux – sur le déni idéologique de l’ensauvagement dans notre société. Évidemment madame Borne dénonce, sans trop s’attarder sur la violence des faits, les tentatives de récupération, comme une grande partie de la presse complice du pouvoir. Se rend-elle compte, ce faisant, qu’elle se livre sans vergogne à une instrumentalisation et un détournement elle-même d’un fait réel, au service d’une cause idéologique ?
De même, la corrélation statistique entre la montée de la violence et l’immigration est établie dans les pays scandinaves, tandis qu’en France on continue d’interdire ce type de statistique ce qui permet de nier une évidence qui crève les yeux.
L’actualité est riche, tandis que notre président s’affiche avec des individus corrompus comme Biden et Von der Layen, les va-t’en guerre de la chair à canon ukrainienne (quel que soit le bien-fondé ou non de ce conflit), en se posant comme le champion de la guerre menée par les USA contre la Russie. Dans le même temps notre armée, comme le rappelait récemment notre ami Philippe Schneider, se meurt malgré quelques mesurettes en trompe l’œil. Par ailleurs, la sous-culture woke se répand dans nos établissements scolaires avec la complicité gourmande du ministre Pape Ndiaye tandis que la finance anonyme met fin à l’extraordinaire croissance de l’hebdomadaire Valeurs Actuelles, revue coupable d’avoir relégué la ligne libérale au profit d’un discours moins favorable aux valeurs pécuniaires, qu’à celles plus antiques et spirituelles qui fondèrent notre patrie commune…
Après les brillantes initiatives du gouvernement d’imposer l’augmentation du temps de travail pour sauver les cotisations et d’interdire « virilement » les manifestations de « l’ultra » droite (avec le succès que l’on connait) pour préparer les futures élections, après les nombreuses « casserolades » et les référés liberté, le pouvoir continue d’avancer tout seul dans l’illusion d’exercer une autorité (à contre temps) ponctuée par des réunions citoyennes, spécialités de notre président pour contourner la parole du pays réel.
A l’Action Française, nous savons depuis longtemps que le mal est systémique et que l’actuel locataire de l’Élysée, un banquier, est un pur produit du système, figure du pays légal totalement déconnecté du pays réel et entièrement tourné contre la volonté des Français et pour la destruction de la Nation.
Depuis la trahison du referendum de Maastricht avec la supercherie du traité de Lisbonne, c’est-à-dire la voie ouverte à une Europe fédérale et otanienne, nombreux sont les Français qui ont ouvert les yeux sur la trahison institutionnelle. La République que l’on nous a servie c’est une autorité du type : « Fort avec les faibles et faible avec les forts » en haut, et des libertés anarchiques et tribales couronnées par l’insécurité et l’accusation d’ultra-droite contre tous ceux qui dénoncent les injustices subies par le peuple français, en bas.
La démonstration est faite du danger que représentent les nouvelles élites : des cliques partisanes au sommet qui se disputent le pouvoir, sans aucune vision du précipice vers lequel elles poussent notre civilisation.
Nous appelons les Français à la résistance face à une violence insidieuse et constante visant à museler toutes formes d’expression alternative. Nous avons pu assister à la répression qui s’est abattue contre les Gilets Jaunes aujourd’hui diabolisés par les médias, grâce à la complicité de l’extrême gauche chargée de pourrir les mouvements sociaux. Nous avons également vu comment les combattants patriotes, officiers et généraux du mouvement « Places d’Armes » ont été traités le 13 mai dernier, non seulement interdits de manifester mais sanctionnés lourdement pour avoir tenu une conférence de presse dans un café de Denfert Rochereau.
Avec eux et avec tous les patriotes sincères qui estiment qu’il y a urgence, nous appelons à un sursaut collectif. Battons-nous pour le bien commun, battons-nous pour la France, battons-nous pour notre survie en tant que Français. L’enjeu est de taille, mais il en vaut la chandelle. Reformons la France forte et la France libre…
Cet été au CMRDS un évènement important (parmi d’autres), sera la rencontre avec des patriotes qui veulent agir avec nous.
Retrouvons-nous nombreux fin août pour préparer la lutte.