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La Chronique de Philippe SCHNEIDER 

Macron, l’homme des groupes de pression

La période estivale se termine et, pour le malheur de la France, Macron et sa clique sévissent toujours ! C’était évidemment prévisible depuis les élections de cette année, mais on peut rêver, non ? Surtout en ce moment où nous le voyons se faire humilier et insulter en Algérie, ridiculisé par des Chefs d’Etat de la péninsule arabique. Comme il l’a fait au moment du Covid, le président qui ne semble pas maîtriser la situation et de plus en plus impopulaire tente d’imposer sa politique par la peur. La peur de la guerre, de l’avenir, de manquer du nécessaire pour vivre… 

La guerre, oui. Elle est en Europe comme lors de l’agression injustifiable, illégale, de l’OTAN contre la Serbie. Il y en eut d’autres… La Russie a fait la même chose ! Mais elle ne nous menace en aucune manière, raison pour laquelle nous ne pouvons comparer la situation actuelle à celle de 1939. Qui menace le plus notre indépendance ? La Russie ou les USA ? La question mérite d’être posée tant les États Unis profitent de ce conflit qu’ils ont en parti suscité pour asservir encore plus l’Europe aussi bien sur le plan économique que militaire. Notre pays ne devrait pas participer aux sanctions – d’ailleurs contre productives – envers la Russie pour se placer en tant qu’arbitre entre les belligérants. Aujourd’hui, il est clair que nous nous plaçons d’un côté sans admettre que si l’attaque russe est condamnable, elle avait ses raisons. En nous plaçant délibérément dans l’axe américain, nous perdons toute crédibilité. Ce ne sont pas les discours de Macron qui y changeront quelque chose. Russes et Ukrainiens – pour une fois d’accord – ont inventé un nouveau mot : « macroner » qui signifie en résumé « parler pour ne rien dire » ! A sa décharge (?), il faut souligner qu’il est complètement prisonnier de l’Union Européenne !

Enfin, cette guerre est bien « pratique » pour justifier tous les problèmes qui touchent la France comme l’inflation qui avait commencé bien avant le 24 février. De même pour les hausses du pétrole et du gaz. L’intégration européenne accentuant le problème. Elles n’ont fait que s’accentuer, surtout pour le gaz. Quant à la pénurie d’électricité, elle est essentiellement liée à la mauvaise politique des gouvernements français depuis plus de 10 ans, cela avait commencé sous Chirac ! Que s’est-il passé ? Sur la pression de groupes pseudo écologiques, le pouvoir a décidé de supprimer petit à petit les centrales nucléaires. Cela commerça sous Chirac et Sarkosy puis s’accéléra sous le tandem « Hollande/Macron ». Rappelons que ce dernier, outre Fessenheim, voulait fermer 12 autres réacteurs (déclaration de 2018). Ordre fut donné à EDF de préparer ces fermetures et, bien entendu, arrêter les constructions de nouvelles centrales mis à part celle qui était en cours (l’EPR de Flamenville). Parallèlement, la filière de construction des turbines pour centrale d’Alstom était bradée à General Electric. Ajoutons que le projet « Astrid » qui aurait donné à la France une large avance a été abandonné. Tout était fait pour la France n’entretienne qu’au strict minimum ses centrales car elles devaient fermer et qu’elle ne puisse plus en construire. Ce n’est pas une « fausse nouvelle », tout ceci a été confirmé par Jean-Bernard Lévy, le patron d’EDF ! Et maintenant, il nous est réclamé de faire des économies d’énergie pour faire face à leur incurie ! Ceci ne veut pas dire qu’il ne faut pas économiser l’énergie car, comme dans tous les domaines, il faut savoir ne pas gaspiller.

De plus, et nous le voyons en cette rentrée, tout semble continuer à s’écrouler : enseignement, santé, sécurité civile (voir notre mauvaise préparation face aux incendies de forêt,…). Un point commun : une bureaucratie centralisatrice, sclérosante, budgétivore, inefficace. Il y a là des milliards d’économie à faire. Nous pourrions dans tous ces domaines – et il y en a d’autres – faire mieux tout en faisant beaucoup d’économies… Pour l’armée, il y a le même problème aggravé par un manque criant de moyens. C’est sans doute le seul domaine où le budget devrait être augmenté (au moins doublé !) si nous voulons être crédibles. Il faut aussi largement reconstituer notre industrie militaire – et pas dans le cadre « européen » – largement détruite par nos gouvernements successifs. Nous pouvons craindre que l’actuel aggrave le problème si l’on en croit certaines orientations…

En fait, nos gouvernements et ceci depuis très longtemps – en réalité depuis que nous sommes en république –  ne font qu’ob&ir à des pressions étrangères – spécialement – aujourd’hui – américaines et européennes qui vont dans le même sens – d’associations diverses (écologistes – faux défenseurs de la nature -, LGBT…., dé-colonialiste, …) sans compter les sociétés financieres  avides de profits sans cause mais dont nos gouvernants sont très proches. Beaucoup n’ont-ils pas fait ou espèrent faire leurs carrières grâce à eux ! Et tant pis pour la France. D’ailleurs, il vaut mieux qu’elle disparaisse dans un ensemble « mondialiste » dans lequel on pourrait faire de bonnes et juteuses affaires.

Les décisions sont prises non en fonction des besoins de notre France et des Français, mais en fonction de ces divers groupes et des campagnes qu’ils mènent grâce aux médias qui sont souvent à leurs ordres voire leur propriété 

C’est donc bien le régime qui doit être mis en cause plus que les personnes souvent prises dans un engrenage qui les dépassent. A bien regarder, qui sont les Macron, Le Maire, Borne, Beaune, Sarkozy, Larcher et tous les autres sinon des marionnettes qui cherchent surtout à essayer de garder ou gagner des places ? Pourtant beaucoup de ses hommes et femmes ont des qualités qui ne demanderaient qu’à servir avec de bonnes institutions.

Voilà la seule question que les Français devraient se poser. Quant à nous, nous l’avons posé et résolu – nous le devons à de grands penseurs politiques qui nous ont précédé – : il manque à la France un arbitre suprême qui ne dépende pas de ces groupes de pression. Un chef de famille à la tête des familles françaises. Un chef indépendant qui pourrait défendre les intérêts du pays, avoir une vision à long terme (30, 40 50 ans ou plus) et rendre leurs libertés aux Français. Et nous savons que cet arbitre que nous appelons de nos vœux, c’est notre Roi, actuellement Jean IV, comte de Paris.

Travaillons à faire en sorte que son rôle légitime lui revienne. Venez militer avec nous pour cela au sein de la Restauration Nationale.