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La chronique cinéma

Les Volets verts

Par Guilhem de Tarlé

A l’affiche : Les Volets verts, un film français de Jean Becker, avec Gérard Depardieu (Jules Maugin), Fanny Ardant (Jeanne Swann), Stéfi Celma (Alice) et Benoît Poelvoorde (Félix), adapté du roman éponyme de Georges Simenon (1950).

Vous l’avouerais-je, je suis amoureux de Fanny Ardant dont la voix m’envoûte, et rien que pour elle…

Mais je conviendrais que Stéfi Celma ne m’a pas laissé, non plus, indifférent pour laquelle j’entonnerais, moi aussi, volontiers, la chanson de Serge Reggiani : « Il suffirait de presque rien (…) ».

Je n’ai pas lu le roman de Simenon et ne peux donc pas juger de la fidélité du film, dont on pourrait croire qu’il s’agit d’une représentation des adieux de Gérard Depardieu.

Un film magnifique, d’amour et de poésie, un bon cru… de vodka…, le premier très bon film 2022, une « petite cantate » que je jouerais aussi avec émotion pour les adieux de Fanny Ardant

« Les anges, avec leur trompette
La joueront, joueront pour toi
Cette petite cantate
Qui monte vers toi »

Les adieux de l’un, les adieux de l’autre…

C’est effectivement le drame de celui qui apprend sa fin de vie prochaine, et j’ai pensé au roman de Laurent Gounelle « Le jour où j’ai appris à vivre ».

PS : vous pouvez retrouver ce « commentaire » et plus de 600 autres sur mon blog Je ciné mate.