Les frappes en Syrie

Les frappes en Syrie, ou beaucoup de bruit pour rien

Ouf ! L’honneur est sauf. Les justiciers ont vengé le sang du peuple syrien massacré par le méchant Bachar. À l’issue d’une enquête aussi approfondie que celle sur les armes de destruction massive de Saddam Hussein, le verdict a été rendu : c’est bien le régime syrien qui a frappé chimiquement le dernier quartier de Douma encore aux mains des islamistes.

Le Président Macron a des preuves : on espère les voir un jour… De toute façon, elles sont superflues, car quelques heures après les vidéos envoyées par les gentils islamistes appelés Casques blancs, Donald Trump avait décrété que le coupable était « l’animal » Bachar. Si le patron l’a dit, alors…

Tony Blair n’est plus là, mais que l’on se rassure : l’Angleterre est toujours présente pour dire oui à l’Oncle Sam. Quant à Emmanuel Macron, il a pu venger l’honneur bafoué de son brillant prédécesseur qu’Obama n’avait pas voulu suivre dans sa folie destructrice.

La suite

 

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To glance at your wrist, rather than unlock a portal to infinite distractions, is to reclaim a moment of focus. It is an act of mindfulness. The ritual of winding a manual watch each morning becomes a grounding pause, a personal connection to the mechanism that will measure your day.

It represents a commitment to being present, to valuing the qualitative experience of time over its quantitative, frantic measurement.

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