Dans les circonstances actuelles (échec de l’intégration, chômage de masse, terrorisme islamique), l’immigration incontrôlée n’est pas compatible avec le bien commun, au nom duquel l’Église reconnaît aux États le droit de réguler l’accueil. Le Saint-Père voudrait déléguer ce droit à une autorité supranationale, ce qui est dangereux : faut-il faire confiance aux grandes agences onusiennes, qui n’ont d’ailleurs aucune légitimité pour imposer leur loi aux peuples et sont les premières à conspirer contre la famille et contre la vie, en soumettant notamment les pays pauvres à « des pratiques idéologiquement étrangères ou contraires aux cultures des peuples auxquels elles s’adressent », comme il le déplore par ailleurs ? […] lire la suite en achetant l’Action française 2000
Éric Letty